internet des objets

Les obstacles qui entravent l’internet des objets

L’internet des objets concerne aujourd’hui 1,9 milliards d’appareils et devrait atteindre plus de 9 milliards d’ici à 2018, c’est-à-dire à peu près le nombre combiné des smartphones, télévisions portatives, tablettes, ordinateurs portables et fixes. Mais pour que la tendance aille au-delà des « early adopters » elle doit relever plusieurs défis : la technologie, la sécurité, la confidentialité, l’énergie.

L’internet des objets a besoin d’infrastructures, elles devront être développées pour accompagner les utilisateurs. Le coût des capteurs devra aussi baisser pour pouvoir toucher son public, notamment les entreprises de taille moyenne.
Pour par exemple allumer la lumière en marchant dans sa maison, éteindre les veilleuses, mettre de la musique et verrouiller sa porte, il y a quatre écosystèmes différents, provenant de quatre fournisseurs. Il faut alors que les plateformes soient interconnectées, que les protocoles ne soient plus en conflits mais reliés.
Lire la suite

L’internet des objets a besoin de standards

L’internet des objets, le X internet, le tout internet … de nombreux termes pour annoncer l’avènement d’une nouvelle génération internet dominée par les objets connectés et les échanges de données Machine to Machine. Mais alors que les gens sont de plus en plus enthousiastes à propos des objets qui par exemple permettent de rester en forme (fitbit, runkeeper, withings etc.), une récente étude Forrester note que ces applications restent limitées car elles ne peuvent pas encore communiquer entre elles.
Certains systèmes peuvent mesurer l’activité physique, d’autres les techniques sportives, et beaucoup d’autres encore les données biométriques. Le résultat est un réservoir de données regroupées en silos, toutes reliées à leur application propre. Mais les entreprises qui les commercialisent pourront se rapprocher de leurs clients uniquement lorsqu’ils seront en capacité de regrouper toutes ces données dans un système unique. L’étude préconise d’intégrer les applications CRM, les systèmes d’inventaire, les parcours d’achats clients et leur expérience. A ce moment-là seulement on pourra parler de l’internet « intelligent » des objets.

Lire la suite

 Scroll to top